Charles Verspieren va diriger le département international du groupe Verspieren.
En choisissant Charles Verspieren pour diriger le département international, le courtier familial fait passer un message fort sur ses projets de croissance à l’échelle mondiale.
Verspieren, courtier familial de Wasquehal (59), a développé sa stratégie sur le plan international. Ayant commencé ses activités aux États-Unis en 1979 pour accompagner un client, la société est présente aujourd’hui dans 4 pays (Italie, Espagne, Portugal et Suisse). De plus, elle a créé en 2012 un réseau international de 90 courtiers indépendants, couvrant 140 pays, appelé Verspieren International, et composé principalement des courtiers Allemands Funk et l’États-Unien Gallagher.
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Charles Verspieren, déjà membre du conseil d’administration et directeur des particuliers, de l’affinitaire et des spécialités de l’entreprise familiale Verspieren, a été nommé à la tête de Verspieren International en avril dernier. Il a pris la suite de Dominique Sizes qui avait fait valoir ses droits à la retraite. En désignant un membre de la famille pour diriger l’international, le groupe a voulu montrer à ses partenaires et à son réseau qu’il compte se développer dans ce domaine. Charles Verspieren a précisé : « Nous allons tout mettre en place dans ce sens. »
Verspieren se prépare à effectuer plusieurs acquisitions et investissements à l’échelle internationale. Afin d’améliorer les échanges avec les courtiers partenaires, le courtier de Wasquehal a mis en place des bureaux régionaux dont les collaborateurs sont bilingues et biculturels. Ces bureaux virtuels permettent de faciliter la compréhension des codes culturels et des usages propres aux différents pays. Un nouveau bureau pour le Moyen-Orient a récemment été créé.
Aujourd’hui, Verspieren envisage des acquisitions à l’international pour renforcer sa présence en Europe. François Leduc, directeur général délégué de Verspieren, explique que les acquisitions sont motivées par le besoin des clients et non par des raisons financières. Selon lui, l’objectif des acquisitions est de développer le business, sur la ligne et dans le pays concerné.
